Waterville golf |
La décision de repenser ce parcours a été couronnée de succès. Le grand architecte américain Tom Fazio l'a porté à plus de 6500m, a radicalement modifié les trous de l'aller (autrefois sans relief) tout en améliorant encore le finale. Il a fait des merveilles sur les neuf premiers trous, beaucoup plus difficiles, mais la suite, insinuée dans les dunes, reste impresionnnante. Malgré ce remodelage intensif, le tracé a conservé un aspect très naturel.Le travail architectural, a été très important : pas de trous aveugles, des fairways quasiment plats, quasiement aucun dog-leg. Mais il faudra savoir travailler la balle pour la garder en jeu, avec des vents latéraux souvent violents. Si l'on ajoute des greens un peu moins énigmatiques qu'à Ballybunion par exemple, la difficulté tient beaucoup, mais on peut aussi souligner la technicité des seconds coups, une fois que l'on a évité les roughs et les bunkers de fairway.
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